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Optimiser sa trésorerie : Karim face à son BFR

Le déclic qui a sauvé son entreprise

Karim est artisan dans le bâtiment à Saint-Paul. Son carnet de commandes est plein, ses devis affichent une bonne marge… et pourtant, chaque fin de mois, c’est la même angoisse : payer ses équipes, régler ses fournisseurs, éviter le découvert.

Lorsqu’il échange avec d’autres entrepreneurs, on lui conseille de jeter un œil à nos ateliers & formations. Intrigué, Karim s’inscrit à une session d’éducation financière pour “mettre un peu de clarté dans ses chiffres”. 

Au cours de ce module court, Karim découvre la notion de BFR (Besoin en Fonds de Roulement).

À travers un exercice simple, il visualise enfin :

  • son argent “coincé” dans les délais clients,
  • ses charges fixes qui ne pouvaient pas attendre,
  • et l’importance de négocier des conditions plus équilibrées.
 « Je croyais que j’avais un problème de rentabilité… en fait, c’était un problème de délais et de cash. »

Karim n’est pas reparti avec une solution magique, mais avec des pistes simples à tester :

  • demander un acompte de 30 % à la signature au lieu des 20% initialement prévus,
  • négocier un paiement fournisseurs à 30 jours fin de mois,
  • suivre son plan de trésorerie chaque semaine et le planifier à 6 mois pour pouvoir anticiper.

Trois mois plus tard, il témoigne qu’il dort mieux : sa trésorerie reste fragile, mais il anticipe au lieu de subir.

Un déclic qui change surtout la posture : Karim se sent désormais acteur de sa trésorerie.

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